La 2ème édition d’Art up Rouen se profile. Je te sens tout à la fois rassuré et enthousiaste. 

Oui, rassuré parce que les galeries répondent présent de nouveau, rassuré parce que nous mettons en place une foire vraiment atypique et de qualité, différente de ce que nous faisons sur Lille. Et enthousiaste parce que je pense qu’il y a un réel potentiel dans cette région normande. 

Sans langue de bois, tu penses qu’il y a un réel potentiel à Rouen ? 

Ecoute, Rouen est la sixième métropole de France, le pouvoir d’achat y est plutôt élevé et la région alentour, avec l’Eure notamment, regorge de résidences secondaires. Je crois donc que tout est en place pour que nous réalisions une excellente deuxième manche. 

Le public était en tout cas ravi de la création de cette foire. 

Oui, absolument. Nous avons eu de nombreux retours positifs de la part des visiteurs. Nous allons d’ailleurs accroître la Communication en amont de la foire afin de drainer un public plus large encore. Tu sais, cette région est un socle historique de soutien à l’art, et cela remonte aux Impressionnistes. La population y est imprégnée par l’art et peut en outre s’enorgueillir de posséder de beaux musées et de belles galeries d’art. 

Pourquoi le début du mois d’octobre ? 

Tout simplement parce que cette date nous permet d’être la première foire de la rentrée. C’est un positionnement intéressant qui me permet de penser que nous allons réussir à Rouen ce que nous avons réussi à Lille. Souviens-toi, au début à Lille, ce n’était pas gagné, et pourtant aujourd’hui les résultats sont là : nous avons attiré en 2017 plus de 32000 visiteurs et les galeristes sont ravis. A Rouen, ce sera le même phénomène, j’en suis certain. 

copyright : Maxime Dufour

copyright : Maxime Dufour

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