Eh bien nous y voici, le n°25 pointe son nez. Consacré au dessin, il détonne un peu par rapport à ses 24 prédécesseurs… L’occasion de revenir sur un itinéraire jalonné de jolies couvertures…

La n°1 s’enthousiasmait (à juste titre) pour les superbes aquarelles de Catherine Jansens. Un livre avait suivi, vite épuisé (Objets retrouvés, Auréoline éditions).

La n°2 montra pour la première fois en France les extraordinaires (je pèse mes mots !) photographies de Robert et Shana Parke Harrison, un couple américain qui mériterait une grande exposition à Paris.

La n°3 fut l’occasion de mettre en valeur la peinture de Miguel Macaya, défendue depuis de nombreuses années par la galerie Arcturus. Le peintre espagnol est un grand, un très grand.

La n°4 mit en exergue l’œuvre de Farhad Ostovani, un artiste trop discret, à l’œuvre d’une grande finesse.

La n°5 rencontra un vif succès avec les photos pleines de poésie de Nicole Lejeune (la mère d’Olivier Lejeune, comédien réputé), la meilleure vente de Miroir de l’Art avant que ne paraisse le n°12.

La n°6 fit la part belle à une vidéo intitulée « Electronic Performers » sur une musique du groupe Air. Un petit film magnifique, trop méconnu.

La n°7 mit au premier plan, et ce n’est que justice, la peinture de Vladimir Velickovic, l’un des grands peintres de notre époque.

La n°8 enchaina avec un autre peintre à l’œuvre exceptionnelle. Il s’agit de Roland Devolder défendu par la galerie GNG.

La n°9 osa un jeune photographe absolument inconnu, Tilby Vattard. Sa photographie commence désormais à s’imposer. Tant mieux !

La n°10 fut l’occasion de rentrer dans l’univers chamarré de Christophe Ronel, notamment défendu par la galerie Deprez-Bellorget.

La n°11 révéla l’excellente initiative d’Alain Bisotti : Photo d’Hôtels Photos d’auteur (PHPA) permet de donner leur chance à des photo graphes venus de tous horizons. Une initiative menée par les Hôtels Paris Rive Gauche.

La n°12 offrit une jolie publicité à Antoine Correia, jeune peintre au talent certain, défendu par la galerie Duchoze(Rouen), mais aussi par la galerie Rouzé (Nantes). La meilleure vente de Miroir de l’Art sur les 16 premiers numéros, avant que le magazine ne passe en diffusion gratuite.

La n°13 mit en avant Jérôme Lagarrigue, via la galerie Olivier Waltmann. Un peintre à suivre, de toute évidence.

La n°14 deviendra peut-être historique, car le sculpteur présenté, Quentin Garel, sera l’un des grands artistes de demain. On fait les paris ?

La n°15 fut pour moi l’occasion de dire mon admiration à Gottfried Salzmann, aquarelliste de génie, chantre de l’urbanité, créateur de génie.

La n°16 donna sa chance à une jeune artiste dont je ne me lasse pas d’admirer les peintures. Marion Tivital fait son bonhomme de chemin, une artiste à suivre…

La n°17 fut aussi l’occasion pour moi de valoriser un des peintres que j’aime beaucoup ; il s’agit de Francis-Olivier Brunet.

La n°18 souligna l’immense talent de Philippe Garel, fils de Quentin, mis en avant lors du n°14 (et c’est unique dans l’histoire de Miroir de l’Art !).

La n°19 rencontra un beau succès avec l’œuvre de Nathalie Deshairs, défendue par la galerie 22.

La n°20 s’intéressa à l’œuvre magnifique de Norbert Nüssle, immense artiste allemand.

La n°21 revint vers la photographie avec Michel Lagarde dont le talent égale à mon sens celui de Robert et Shana Parke Harrison, et qui mérite une plus large audience. Il est défendu par la galerie Roy Sfeir.

La n°22 fut la première Une à) ne pas mettre en avant un artiste… mais plusieurs, avec cette question « Quels sont les grands artistes d’aujourd’hui ? ». Un numéro qui nous a permis de glaner un nouveau public.

La n°23 donna un éclairage particulier, et remarqué, sur l’œuvre de Vincent Bousserez. Une oeuvre humoristique, légère et délicieuse...

La n°24, largement diffusée sur Lille Art Fair, met en exergue la sculpture de Pierre Riba, toute de carton constituée. Remarquable !

Et voici la n°25 et le dessin. Au programme Vélickovic, Pignon-Ernest, Nitkowski, Carrasquer, etc.

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